Votre serviteur a une petite fièvre et manque d’inspiration sur la COP 21, au-delà du coup de pédale.

Mais en entendant que le Président Hollande a employé pour la première fois le terme de “dette écologique”, j’ai pensé qu’un petit retour sur ces thèmes serait d’actualité.

Le socle d’une coalition mondiale pour le climat : reconnaître la dette climatique.

Quand La machine climatique s’emballe, faut-il compter sur un “réveil des forces citoyennes”, ou plutôt sur la force du droit, notamment celle de l’OMC ?

Bientôt le bicentenaire de l’effet de serre — plus exactement de sa découverte par Fourier en 1824. Les climato-sceptiques ont beaucoup de retard.

  • Ce billet avait attiré un bon nombre de lecteurs et commentateurs qui constituaient une sorte d’échantillon des argumentaires climato-sceptiques, et c’était intéressant rien que pour cela. Bon, c’était en 2009.

La tentative européenne d’imposer une taxe carbone face à la Chine… et aux compagnies aériennes européennes — c’était en 2012.

Un polytechnicien lucide sur le nucléaire — qui n’a rien d’une solution miracle, notamment à Flamanville. Et que se passerait-il si le monde s’en passait ?

“Réinventer la responsabilité” - François Ewald : “Principe de précaution” est, via l’anglais, la traduction française de l’allemand Vorsorge, qui veut dire en réalité prévoyance. Donc : anticiper. (…) Avec ce principe, l’incertitude oblige.

Quand une collectivité locale s’engage… ultra-superficiellement : le Val d’Oise, en 2010. (P.S. 27 déc. 2015 : beaucoup mieux à mon avis, la Ville d’Argenteuil).

Un autre pétard mouillé : Copenhague, il y a 4 ans.

Alors que limiter le dérèglement climatique est une question de sécurité mondiale.

Bonne chance à Paris Le Bourget !