En renfort, plutôt qu'au centre : le Collectif pour le logement social en Val d'Oise, comme le mouvement pour le service de radiothérapie de l'hôpital, viennent de la gauche et la Mairie (PCF) de Bezons y joue un rôle moteur.

Mais notre ligne est claire[1] : renforcer si on est d'accord, s'opposer si on est en désaccord, quel que soit l'initiateur des mouvements.

Et dans les deux cas, pousser le mouvement un peu plus loin, exiger que l'intérêt général l'emporte sur les intérêts partisans. Par exemple, revendiquer auprès du préfet l'application de la loi SRU, c'est bien ; mais puisque le nouveau ministre de la Ville semble vouloir lui aussi la faire appliquer par les communes, pourquoi ne pas lui suggérer, par lettre, de donner les instructions en ce sens au même préfet ?

Notre ami Lionel Houssaye, conseiller municipal (Cap21) de Bezons, est sur la même ligne constructive : nous l'avons retrouvé hier de 14 à 15 au collectif logement, puis de 15 à 16 devant la sous-préfecture (sur la photo) avec les manifestants pour l'hôpital.

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Notes

[1] Contrairement à ce qu'une maire adjointe d'Argenteuil, de gauche, nous disait croire, sans doute en guise de plaisanterie ;-)