Je co-signe le texte suivant, communiqué ce vendredi matin.
Les militants du Mouvement Démocrate d'Argenteuil s'inquiètent du risque de fermeture du service de radiothérapie à l'hôpital d'Argenteuil.
Si une fréquentation de 600 patients dans l'année est exigée, et qu'il y en a eu 575, soit à peine 4% de moins, l'urgence n'est certainement pas de fermer le service.
L'urgence est de réussir le maintien de ce service et de le développer en convainquant les médecins d'orienter leurs patients vers l'hôpital d'Argenteuil.
Il faut que les patients qui auront, hélas, besoin de ces traitements, souvent désagréables et épuisants, puissent le suivre près de chez eux dans les meilleures conditions.
Il y a en France un centre de radiothérapie pour 350000 habitants environ ; or Argenteuil est le seul service public de radiothérapie de l'Ouest et du Nord-Ouest parisiens.
Nous soutenons les initiatives visant à maintenir le service de radiothérapie à l'hôpital d'Argenteuil, et appelons à participer à la marche programmée le 5 février de l'hôpital à la sous préfecture.
Plutôt que d'appliquer une directive sans nuance, peut-être serait-il salutaire d'introduire une clause si elle n'existe pas déjà, qui serait de mettre en effet un écart de tolérance comme les 4% dont tu parles ?
Lui-même modulé en fonctions de critères très précis et ciblés, dont certains ont sans doute été oubliés... En l'occurrence ce que tu mets déjà en avant : la situation géographique, l'accessibilité, la densité de population, l'âge des patients potentiels, donc les maladies potentiellement traitées dans ce service etc. Ce sera alors plus facile pour convaincre les médecins de ce secteur.
Vérifier en fait qu'un audit sérieux et non orienté ait été fait avant une telle décision...