J’ai ce matin les honneurs couinants du Canard !
Ce qui est écrit là n’est pas tout à fait exact : je ne me préparais pas à faire cette campagne législative comme « Frédéric Lefebvre ». Grâce à l'arrêté de 1986 pour l’égalité hommes-femmes, j’ai pris dès mon mariage « Lefebvre-Naré » comme nom d’usage. C’est le nom que les électeurs ont trouvé sur les bulletins, aux précédentes élections.
Jean-François Julliard est pourtant bien informé : je me suis posé exactement cette question-là, revenir au « Lefebvre » plus simple ou garder « Lefebvre-Naré », quand j’ai commencé à être interviewé et cité dans la presse lors de la campagne Bayrou 2007.
Et ce qui m’a décidé, c’est le nom de mon concurrent direct dans l’équipe d’en face (avec bien sûr Emmanuelle Mignon) : Frédéric Lefebvre.
Alors, c’est vrai : j’ai été un opposant constant à Frédéric Lefebvre, et les rares fois où je l’ai approuvé, je m’étais sans doute trompé.
Et comme ça, un Frédéric Lefebvre au MoDem, candidat aux législatives, il n’y en a qu’un !
P.S. - Un autre homonyme.
Ca illustre encore une fois le faible travail d'enquête effectué par les journalistes... Je pensais le 'Canard' plus consciencieux que cela. Mais c'est quand même embêtant quand ça tourne à la limite de la diffamation ? Sans doute vaut-il mieux en rire.
@ FredericLN : je ne suis pas d'accord avec toi : Jean-François Julliard n'est pas bien informé même si tu veux lui trouver des circonstances atténuantes : ton discernement de 2007 était-il public ? j'en doute. Enfin... on ne va pas froisser un journaliste, ça ne se fait pas dans notre démocratie.
Pas de souci ! moi-même en rédigeant les quelques lignes de la "profession de foi", je constate à quel point il faut simplifier, faire ressortir les angles, tout en restant à la limite de ce qui est juste. Tiens, quand je dois définir mon métier, chacun des termes possibles (ingénieur, statisticien, évaluateur, consultant, entrepreneur, etc. …) est juste, et peut pourtant être compris de façon bien différente de ce que je fais effectivement.
Et si un journaliste veut réutiliser ces éléments et les reformuler dans sa phrase ou son article, ça sort presque automatiquement un peu de l'exacte réalité. On peut au maximum espérer que la signification essentielle de l'événement rapporté, ne soit pas trahie. Traduttore, traditore… Ce sont les contraintes de la communication publique.
Et puis, ça a fait rire Mme Lefebvre !
Ce dernier point sauve tout-à-fait le brave journaliste. Tu lui dois un Champagne.
! Sans doute il a été un peu rapide le journaliste mais c'était de l'humour, et drôle !
Et puis, ma foi ça te fait un peu de pub, et rien de méchant contre toi là-dedans, donc...
Je viens de recevoir le Canard dans ma boîte aux lettres, je vais le lire.
Mouarf, bien sur que j'avais lu l'article , sachant qu'un canard s'indignait du pourquoi de mon nom de famille suivi de celui de mon époux ( pourquoi que c ti que pas que sous mon nom d'épouse, rigolot questionnement) qui ne s'en est jamais indigné d'ailleurs^^^.
Nous vous avons toujours connu sous FLN et en toute franchise une démarche qui me plait, elle fut aussi la mienne et celle de mon conjoint.
Le reste...
Dans les Landes, Frédéric, nous avons un conseiller régional du PS qui s'est récemment marié avec une conseillère régionale EELV et qui a rajouté le nom de famille de son épouse. Stéphane Delpeyrat (non il ne vend pas de foie gras !) se nomme maintenant Stéphane Delpeyrat-Vincent. Bérénice Vincent se nomme Bérénice Delpeyrat-Vincent. Même démarche que la tienne. J'ai adoré ! Et je le lui ai dit...
@Francoise,
En ce qui concerne ton "TP la fronde", tu auras beau essayer... En ce qui me concerne j'ai tourné cette page.