Je crains parfois d'assommer les lecteurs à force de dénoncer la faillite bien avancée, le cynisme du pouvoir sarkozyste, l'irresponsabilité du PS, et autres malheurs des temps. Je crains parfois d'être trop pessimiste. Alors je mets de l'eau dans mon vin, sottement.

Comme le 21 juillet dernier, quand j'ai commenté le grrrand accorrrd historrrique des Européens en les estimant "habillés pour le mois d'août" :

Les mots définitifs ("Nous ne le ferons pas pour d'autres pays") impressionneront les Bourses pour quelques minutes, peut-être même jusqu'à la fin du mois, et de là, dans la torpeur estivale, au 31 août.

Oups. Désolé.