Quelques mots naïfs sur mon expérience de rookie de la programmation informatique !
J'ai fait l'essentiel de ma carrière dans la "sociométrie", la "modélisation économique", la "méthodologie statistique" et "l'évaluation de politiques publiques", bref, dans des métiers où il faut parler des gens (et aux gens) avec des chiffres, des métiers scientifiques mais où les ordinateurs ne tiennent qu'un rôle secondaire.
Mes connaissances scolaires et universitaires en informatique, un peu superficielles, se sont éventées, et les langages que j'avais appris (assembleur, Basic, Pascal, C, C++, CAML, Prolog) sont presque tous des langues mortes.
Mais depuis 2013, je travaille à temps partiel dans une start-up, où la grande majorité des collègues codent toute la sainte journée. Les schémas papier, explications verbales et autres idées de manoeuvre les laissent froids. Mes maquettes Excel et macros bidouille, mes relectures de code avec questions naïves, étaient tolérées avec charité… Il aurait fallu que je parle la langue commune, celle des machines.
Mais comment trouver le temps et la concentration d'apprendre une nouvelle langue, dans le rythme saccadé de la start-up ?
Le ralentissement de juillet-août m'a enfin permis de me lancer, sur un projet important et qu'aucun collègue n'avait le temps de coder. J'étais au pied du mur !
Voici donc, en vrac, mes sensations.
D'abord la pesanteur, l'inertie énorme du truc. Pour réaliser la maquette Excel du produit, une journée avait suffi ; mais au bout d'une journée dans l'univers de Scala sur Intellij, je commençais à peine à comprendre à quoi servait chaque morceau de l'écran, et il avait aussi fallu ce temps pour que mes collègues informaticiens arrivent à trouver la bonne clé pour que j'accède aux données stockées sur nos bases Cassandra. Le Basic et le Pascal de ma jeunesse étaient des mobylettes qui démarraient au quart de tour ; maintenant, me voilà pilote de tracteur.
Ensuite, la surabondance. Toutes les fonctions développées par des millions de gens à travers le monde sont réutilisables, des "collections", des "libs", des "packages", des machins trucs je n'ai pas encore pigé les différences. Et quand on voit un mot dont on ne comprend pas ce qu'il fait là, Commande-B ouvre immédiatement le bout de code qui l'a défini, et qui, les bons jours, est commenté par l'auteur. Dans mon jeune temps, on programmait en suivant un sentier que l'on traçait soi-même. Maintenant, on active l'un après l'autre les boutons d'un immense cockpit.
Après, la qualité des guides. Les bons guides allient la compréhension profonde du langage, et la compréhension profonde de l'humain qui va devoir l'utiliser. J'ai eu le sentiment de pouvoir faire toute confiance à Nadim Bahadoor et Alvin Alexander. Les mauvais guides abondent. Leur refrain est "Vous pouvez faire tout ce que vous voulez". Ils se reconnaissent facilement, c'est heureux : aux fautes de typographie dans les exemples, ou aux noms de variables bâclés.
Après vient l'exigence. Le sentiment, l'expérience aussi, que le moindre relâchement coûte cher. J'avais appelé vite fait "indexMax" le nombre d'éléments d'un tableau. Quand je l'ai proprement rebaptisé "machinSize", ça m'a fait sauter aux yeux la cause d'un bug récurrent — parce qu'en Scala comme dans d'autres langages, on compte les éléments à partir de 0, si bien que le dernier a le numéro machinSize-1, et l'avant-dernier (auquel je faisais appel) machinSize-2.
J'ai aussi perdu 4 heures, entre avant-hier et hier, à ne pas comprendre pourquoi tel résultat valait si souvent 0 — avant de réaliser que, quand je divisais 1 par 2, cela donnait forcément 0 puisque j'avais défini la variable qui valait souvent 1 comme un entier, avant de voir une utilité à la diviser par 2.
Vers 2014, j'avais travaillé, à temps très partiel, pour un studio de jeux vidéo. Une partie de ce que je concevais (le système d'enregistrement des actions du joueur) était ensuite "codée" par un informaticien du studio (Alexis, si tu m'entends, bravo encore). J'étais surpris par l'ambiance dans les rangées des devs, le calme : écouteurs bien sûr, doigts qui font tourner des crayons, longues minutes passées à regarder l'écran tourner. Je croyais me souvenir que de mon temps, on pissait du code au kilomètre ; que le plus rapide sur son clavier avait un sérieux avantage. Mais avec les langages d'aujourd'hui, je le voyais dans ce studio et je l'expérimente maintenant, on lit et on comprend plus qu'on ne tape. On mange du code, et il faut manger lentement. Une ligne en vaut cent.
C'est pourquoi le terme de code n'est pas si mauvais. Ça ressemble plus à un code (secret, magique) qu'à une langue, ou qu'à un programme au sens commun du terme. Même une formulation aussi simplette que "(aDateTime.getMillisOfDay / seasonDuration).toInt" fait appel à une douzaine de notions, non seulement informatiques mais juridico-physiques (les fuseaux horaires et les changements d'heure) ou économétriques (la saisonnalité).
Quand je fais ma compatibilité, à la fin de chaque ligne, je me sens rassuré d'avoir coché les cases, de ne pas être sorti du cadre. La ligne copiée-collée d'une ligne précédente est la meilleure de toutes, la plus sûre, la plus rassurante. En Scala, au contraire, chaque retour à la ligne me donne le sentiment d'avoir inventé, créé quelque chose, et pris un risque. Copier-coller fait honte. C'est le signe qu'on fait fausse route, que l'on est en train de mal concevoir, de dégrader, de fragiliser l'ouvrage.
Et à l'arrivée, merci les big data : le tracteur tracte. Le programme traite des centaines de milliers de données en un rien de temps — it breaks Excel, comme disait je ne sais plus qui. Comme il m'a fallu, non plus comme avec Excel gérer les données qui étaient sous mes yeux, mais gérer toutes les données qui pourraient arriver demain, j'ai dû prévoir une palanquée d'options et de réglages. Et cette palanquée me donne envie de vendre le truc avec l'argument : "Vous pouvez faire tout ce que vous voulez".
Ah zut, ce n'est pas le bon argument.
Le chemin, à peine, tu débutes, jeune padawan !
Merci à toi, jeune padawan, d'avoir un peu ouvert les portes du sanctuaire à un ignorant.
justement, mission terminée ce soir : 650 lignes écrites en ~1 mois à mi-temps. Dites ça à un écrivain !…
A tous les niveaux : entreprises, pouvoirs publics, on ne parle que de digital, de numérique.
Que cela va bouleverser nos méthodes de travail, notre mode de vie.
Pour un simple particulier, nous avons accès à Internet, l'information en continue, les réseaux sociaux, la possibilité d'acheter ou de réserver tout et n'importe quoi depuis son canapé sans se déplacer.
Pour autant, qui prend conscience que de plus en plus de personnes sont ou se sentent dépassées ?
Dans les entreprises, (dernièrement dans le train, une salariée commentait son quotidien) les logiciels de gestion deviennent de plus en plus complexes et pourtant ils sont présentés aux salariés comme simplificateurs de leurs tâches quotidiennes.
Des personnes âgées avaient une autonomie pour gérer leurs comptes personnels.
Maintenant, les impôts doivent être déclarés sur Internet.
Pour faire un virement en interne sur vos propres comptes, la banque vous donne désormais un code d'accès à Internet et débrouille toi.
N'allons nous pas avoir des "analphabètes" de l'informatique.
Je pense séparément aux jeunes informaticiens sortis des écoles d'ingénieurs.
La formation continue sera obligatoire pour eux mais ne vont-ils pas être dépassés dans 10 - 20 par l'évolution des nouvelles technologies et la nouvelle génération d'ingénieurs ?
Je pense que nos pouvoirs publics comme c'est toujours le cas avec retard, n'ont pas pris conscience des difficultés que vont rencontrer de nombreuses personnes.
Tout comme la III ème République a eu l'ambition d'apprendre à lire, écrire et compter à toute une population, il faudra recommencer avec le digital.
Merci Frédéric de cette fenêtre sur un autre monde.
Plusieurs remarques:
-beaucoup de quinquas, parfois informaticiens de formation, rechignent à se remettre à la programmation, surtout pour de nouveaux environnements. Ils préfèrent se consacrer au "management". Ce n'est visiblement pas ton cas. Bravo!
-il y a en permanence de nouveaux langages (même si C, C++ et même Prolog sont encore utilisés!) . Avec Scala, on est dans du langage "dense" en opposition aux environnement style Cobol ou le programmeur "pissait" ses centaines de lignes de code par jour. C'est plutôt un bon point. Bien aussi de voir que ce sont les universitaires européens (l'EPFL) qui créent les technologies et non les capitalistes californiens chez Microsoft ou Google . L'exception étant Java de Sun.
Bernard se pose beaucoup de questions sur l'informatique. Le premier risque est de laisser sur le bord de la route les personnes les moins adaptées au numériques, les personnes agées ou celles présentant certains handicaps (visuels, intellectuels). Le deuxième est effectivement la gestion des compétences des informaticiens. Le schéma actuel fait que la formation continue des salariés n'est pas satisfaisante. Un salarié en SSII par exemple va être géré sur des compétence de court terme. Les compétences nouvelles provenant parfois de nouveaux diplômés. Est-ce plus facile en indépendant? Je n'en suis pas sûr.
Vécu de ce matin en exemple de mon commentaire du 13/08
Je monte actuellement un dossier pour un membre de ma famille qui doit être accueilli dans une EHPAD
Il me faut bien entendu des justificatifs de pensions
Il a pendant sa carrière professionnelle, cotisé à 4 organismes sociaux.
Je ne regrette pas d'avoir voté Emmanuel Macron qui veut qu'il n'y ait plus que le régime général de sécurité sociale.
Donc 4 appels passés, 4 serveurs vocaux, un seul interlocuteur pour avoir cette fichue attestation
Un serveur tourne en boucle pour vous obliger à faire votre demande sur leur site internet
Un répondeur automatique.....
Le dernier qui enregistre votre demande après avoir tapé 1 puis 2 puis #
Pour les 4 il fallait taper en sus le numéro de sécurité sociale
Je me mets à la place d'une personne âgée qui monte un dossier pour son conjoint, bon courage à elle....
Alors oui pour les sites internet mais en conservant un accueil téléphonique humain et pas dirigé.....
@Fred,
Je ne comprends pas comment un com affiché JBL se transforme en com Bernard.
Sinon, le com de Bernard me fait ricaner un max car rien sur les pee perco et perp que cherche à valoriser son Jupiter.
Ce schlimblic n' ayant absolument rien à envier à notre ss.
@Fred,
Oups, dslée coms effectivement distincts.
@Fred,
Bien sur que j'ai suivi bfm.
J' étais à Pau cet été lors du festival "d'oc."
Les seuls commerces ouverts sur la promenade des Pyrénées.
Les chambres étudiantes dépendent là-bas exclusivement du privé.
Le tram-bus qui fache beaucoup, n' est en fait qu'un couloir de bus en site propre.
Les mots ont un sens^^^
Si déçue...
Sinon, FB semble avoir oublié que le ministre actuel était dg de l' éduc natio sous NS.
Il me semble avoir oublié un peu beaucoup ses combats de l' époque
S'il compte sur moi...Il est mal barré.
@Mak, merci pour ton intervention sur le levothyrox nouvelle formule, ma mère a eu vertiges et perte de connaissance, et n'a pas le choix suite ablation complète.
Merci vraiment.
@ Martine
Comment passer de l'informatique à la santé
Je suis au courant de cette pétition sur la nouvelle formule du Levothyrox car moi même concerné (aucuns effets secondaires constatés)
J'ai fait des recherches sur Internet et notamment l'association des malades de la thyroïde.
La nouvelle formule aurait été demandée par l'Agence Nationale des Médicaments car la molécule Levothyroxine n'était pas stable dans l'ancienne formule.
Il est recommandé de faire quelques semaines après la prise du nouveau levothyrox, une nouvelle prise de sang pour redéfinir les doses quotidiennes.
Un frère pharmacien m'a confirmé que cette polémique était exagérée.
Donc si vous avez de plus amples informations, je suis preneur....
@Bernard,
Moi aussi sous levothyrox, et pas une histoire de génétique.
Plutôt d'exposition à certaines radiations et puis peut-être choc suite à décès brutal.
Je suis sous levothyrox pour réduire la masse de nodules pour l'instant bénins et cela fonctionnait plutôt bien. Ai arrêté mon traitement suite à vertiges dans mes déplacements et fatigue généralisée comme si tsé tsé m' avait piquée, plus crampes et douleurs musculaires même en repos complet.
Quand à mon pharmacien, me souviens qu'il m' avait asséné le blabla des labos: que surtout en aucun cas je ne devais revenir à l' ancienne formule! Sic
Ne suis pas inquiète pour moi, car ce traitement n' est absolument pas vital pour moi, mais pour tous ceux qui ont subi une ablation complète de la thyroïde.
Il y a un problème
@Bernard,
Je pense que pour ne l' avoir pas vécu, vous n'avez aucune idée de combien chaque pas peut couter...
Ne vous en veux pas
@ Martine
La comédienne Anny Duperey elle aussi "levothyroxée" dénonce la nouvelle formule.
L'Express a pondu un article à ce sujet, confirme que c'est l'ANDM qui a demandé au labo Merck de changer leur formule.
Des que je vois mon frère, pharmacien, je lui en parle.
J'y reviendrai ensuite sur ce blog car beaucoup se plaignent de vertiges.
@Bernard,
Ai aussi lu la ministre, j' espère qu'elle va vraiment se bouger et tenir parole pour proposer une alternative aussi efficace que l'ancienne formule aux patients et rapidement.
@ Martine
Il y a des années mon pharmacien m'avait fourgué le générique Levothyroxine (boites jaune et rose selon la dose) conformément aux instructions de la sécurité sociale.
Il fallait avaler (dans tous les sens du terme) des génériques.
Et maintenant, avec la nouvelle formule, aucun choix, aucun générique.
J'ai pas tout compris.....
@Bernard,
Il me semble au contraire que vous avez tout bien compris. ????
Me demande si le nouveau levothyrox quand associé à une posologie contre l'hyper tension, ne ferait pas bon ménage...
Enfin bon bref, j' essaie de comprendre, et pas simple.
@ Martine
J'en ai parlé à mon frère pharmacien.
Pas d'affolement, la molécule Levothyroxine est la même.
En revanche, étant plus stable que dans l'ancienne formule, certaines personnes ne sont plus équilibrées d'où cette fatigue extrême.
Il conseille donc de refaire régulièrement des prises de sang pour éventuellement rééquilibrer le dosage quotidien.
Je vais suivre son conseil et demander à mon médecin de me prescrire une prise de sang plus régulière que tous les 6 mois actuellement.
@Bernard,
Les excipients sont différents et me semblent diurétiques un max.
Donc la formule initiale stable me semble éprouvée ????
Dslée, ne crois pas un seul instant à votre frère pharmacien. Où alors nouvelle génération.
Je sais pas trop sympa com com...
Surtout quand j'essayais de chercher Soluces rapides.
@Bernard,
Suite à entretien avec un cardiologue, certains médocs pour traiter quelques pathologies cardiaques entrainent chute de la tsh et impliquent une posologie pour la rétablir: donc levothyrox.
Ai eu donc confirmation de ce que je subodorais.
Après, il n'y a pas eu que changement d' excipients mais aussi de dosage de la molécule active; ainsi un dosage de 75 micro grammes peut être devenu du 100.
Ensuite, pas de solution si incompatibilité avec les nouveaux excipients sur notre territoire.
Voili, voilà voilou où j' en suis de mon "enquête".
Bonne soirée
@ Martine
Votre commentaire 20
La ministre de la santé est plus rassurante.
Notre santé vitale n'est pas en danger malgré les inconvénients subis par des patients
Elle confirme en gros l'avis de mon frère pharmacien
Je ne pense pas aussi que ce changement de formule soit une histoire de "gros sous"
J'ai vérifié mes ordonnances
06/2016 génériques dose 100 u : 2,54 euros - dose 125 u 2,84 euros
Tout le monde ne prenait pas de génériques
07/2017 nouvelle formule 100 u : 2,83 euros - dose 125 u 3,19 euros
Surcoût moyen 30 centimes
Donc même si nous sommes 3 millions de patients, le gain est minime pour une multinationale.
Au pire, on pourrait invoquer une livraison qui ne correspond pas au cahier de charges de l'agence du médicament !
@Bernard,
Notre ministre de la santé semble avoir entendu (bon il a fallu être bruyants, et laisser du temps)
Sa décision me parait sage, très sage et l'en remercie.
Pour le reste, nous verrons bien comment cela évolue sur le terrain.
Bonne soirée ????
@ Martine
Je suis OK avec vous, sa décision est sage puisqu'elle va proposer une alternative dans les prochains jours.
Dommage qu'en France, il faille gueuler pour se faire entendre.
Pour autant, si personne ne se plaint, c'est que tout est bon.
On verra bien la suite....
Bonne soirée à vous aussi.
@Bernard,
C'est une avancée pas une panacée.
Alors, nous verrons bien
Cela de couter une main à la sécu ou un bras si l'on compte les soins pour pathologies associés...
Enfin bon bref, épisode consternant.
Merci MAK d' avoir réagi: Hug and kiss.
@Fred,
Par delà le scandale levothyrox nouvelle formule, dont la mise sur le marché a plus que laisser à désirer dans les procédures et offre en deçà de la demande; se pose aussi la problématique de l' introduction d' un générique effectivement, et pas récent.
Le corps médical était vent debout contre, notamment les endocrinologues qui avaient reçu assurance il y a quelques années que jamais!
Les pharmaciens aussi avaient reçu cette assurance de la part des organismes gouvernementaux responsables.
Pourquoi changer un médoc qui fonctionne bien et peu couteux?
Savez-vous que certains génériques sont plus couteux pour la sécu et mutuelles que la formule d'origine?
Sommes très peu nombreux à nous en inquiéter désormais ne sortant plus notre porte monnaie; pourtant il suffit de comparer les boites.
Bonne soirée Fred et merci
@Fred,
Ai dit boites...volontairement très peu affichent le prix désormais.
La seule façon de savoir est via décomptes de remboursement mais qui les lit désormais?
Vouli,voila, voilou.
Faudrait qu'elle se tienne info, m' me la ministre, du passé et qu'elle cesse de se défausser sur les actions de la précédente ou autres antérieurs, elles sont sorties du même nid.
Et puis, dans son ministère, si elle veut savoir je pense qu'il reste quelques personnes qui se souviennent...enfin je l'espère!
@Fred,
C'est tout simplement une honte ce que subit Anny Duper..
Sur Twitter...
Archi déguelasse pour parler vrai.
Elle a eu raison d'asticoter la fumeuse Élise de la chaîne nationale.
La perte de son audimat, n' est pas récent et ne risque pas de grimper désormais, quand la confiance est perdue...
Il semblerait qu'il n'y pas pénurie sur le seul levothyrox, mais aussi sur d'autres médocs et vaccins, concernant les affections bronchiques..
Rhalala!